Paul Baudry, La vague et la perle, Musée du Prado, Madrid, commons.wikimedia.org
Voilà, je profite d’une œuvre de peintre français Paul Baudry, cette vision de Vénus ou de naïade, c’est selon les goûts pour récidiver avec un de mes auteurs fétiches :
« Les colosses me comprendront : la force est monotone et pauvre. C’est la faiblesse qui est riche. À un moment donné, la force lasse. »
Marcel Moreau, Julie ou la dissolution
Une nouvelle pour les allergiques à l’esprit de Noël tradi, cute, kawaï Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, derrière sa couverture mini avec la petite fille dans le caddie, Le Père...
Un trésor de roman jeunesse Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d'autres, connaissez-vous Neïba ? Une craquante petite Je-sais-tout de neuf ans, drôle et pleine d'esprit. Elle est en CM1 et...
Autour de L'après-midi d'un faune : églogue de Stéphane Mallarmé LE FAVNE Ces nymphes, je les veux perpétuer. Si clair, Leur incarnat léger, qu’il voltige dans l’air Assoupi de sommeils touffus....
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