Des années d’insignifiance de Nathalie Gassel

Publié Publié dans coups de tête

Écrire le Sang d’encre indélébile de l’enfance-enfer Au début était l’enfer ! C’est ainsi que je vois l’enfance. (p. 9) Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, dans Des années d’insignifiance, d’emblée l’état d’esprit est donné. Pas question de la nostalgie du prime âge insouciant, mais de l’horreur de la damnation familiale où l’impossibilité d’aimer le dispute à l’impossibilité de communiquer : les petites années sont le puits profond du pas grand-chose.