Le vêtement incarné de France Borel (2/2)

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Que disent Les métamorphoses du corps ? (volet 2/2) Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, on dans l’essai Le vêtement incarné, France Borel développe la thèse classique d’un refus universel de la nudité. Son argumentation est naturaliste en ce qu’elle oppose les notions de nature et de culture. Le corps nu serait considéré comme bestial, alors l’homme l’orne et même le sculpte d’une manière souvent indélébile afin de l’arracher à l’ordre animal.  Question : qu’en est-il des sociétés que l’anthropologue Philippe Descola décrit comme ayant une autre ontologie ? 

Le vêtement incarné de France Borel (1/2)

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Que disent Les métamorphoses du corps ? (volet 1/2) Selon l’historienne de l’art et docteur en philosophie et lettres, France Borel, des pratiques complexes, à cheval sur le registre collectif et le registre personnel. Donc, l’héritage culturel, la vie sociale, l’appartenance à un groupe ou une nation, l’histoire individuelle, le prestige hiérarchique, le genre, la classe d’âge, le statut matrimonial, l’espace intime, l’esthétique, le désir sexuel, le fantasme, le fétichisme… D’où le vers de Paul Valéry en exergue : Le plus profond, c’est la peau. Suivi par la citation de Michel Serres, Les Cinq sens : Rien ne va aussi profond que la parure, rien […]