L’Après-midi d’un faune

L’Après-midi d’un faune

Autour de L’après-midi d’un faune : églogue de Stéphane Mallarmé LE FAVNE Ces nymphes, je les veux perpétuer. Si clair, Leur incarnat léger, qu’il voltige dans l’air Assoupi de sommeils touffus. Aimai-je un rêve ? Mon doute, amas de nuit ancienne, s’achève...

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