Veronica Franco, prostituée et poétesse
La cortigiana onesta ou courtisane vénitienne Une femme de lettre qui se prostitue et défend ses consœurs ? Comment ne pas penser à Grisédélis Réal ?
La cortigiana onesta ou courtisane vénitienne Une femme de lettre qui se prostitue et défend ses consœurs ? Comment ne pas penser à Grisédélis Réal ?
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin, une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée.
J’AI TANT RÊVÉ DE TOI J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant Et de baiser sur cette bouche la naissance De la voix qui m’est chère ? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués En étreignant ton ombre À se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas Au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante Et me gouverne depuis des jours et des années, Je deviendrais une ombre sans doute. Ô balances sentimentales.
Résistances Contre la folie de tous les racismes Contre les violeurs et le sexisme Contre l’hypocrisie et le paternalisme Contre les phobies et le négationnisme
Artémis
Enivrez-vous Il faut être toujours ivre, tout est là ; c’est l’unique question.