Les vagabonds sans trêves
Bienvenue sur Les vagabonds sans trêves
le blog littéraire & culturel de partout
Où n’est pas entendu le parent conscient des discriminations
Voir, ou ne pas voir, telle est la question de la conscience sociale Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, ça se passe en 2010, à Bruxelles, dans une famille belgo-française. Appelons...
L’heure exquise de Paul Verlaine
L'HEURE EXQUISE La lune blanche Luit dans les bois ; De chaque branche Part une voix Sous la ramée... Ô bien-aimée. L'étang reflète, Profond miroir, La silhouette Du saule noir Où le vent pleure......
L’amour nous fait trembler comme un jeune feuillage de Charles Guérin
L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage, Car chacun de nous deux a peur du même instant. Mon bien-aimé, dis-tu très bas, je t'aime...
Des années d’insignifiance de Nathalie Gassel
Écrire le Sang d'encre indélébile de l'enfance-enfer Au début était l’enfer ! C’est ainsi que je vois l’enfance. (p. 9) Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, dans Des années...
Je suis comme je suis de Jacques Prévert
Je suis comme je suis Je suis comme je suis Je suis faite comme ça Quand j’ai envie de rire Oui je ris aux éclats J’aime celui qui m’aime Est-ce ma faute à moi Si ce n’est pas le même Que j’aime...
Penser et écrire l’Afrique aujourd’hui bientôt aux éditions du Seuil
Une publication très attendue Les compagnons des Vagabonds sans trêves ne peuvent ignorer qu'Alain Mabanckou a organisé, le 2 mai 2016, au Collège de France, le colloque Penser et écrire l'Afrique...
Veronica Franco, prostituée et poétesse
La cortigiana onesta ou courtisane vénitienne Une femme de lettre qui se prostitue et défend ses consœurs ? Comment ne pas penser à Grisédélis Réal ? Née en 1546 dans une famille aisée, la...
La nuit n’est jamais complète de Paul Éluard
La nuit n'est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis, Puisque je l'affirme, Au bout du chagrin, une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée. Il y a toujours un rêve qui veille, désir à...
Une histoire d’enfants qui n’aiment pas lire
Yvy et Otto ou l'aversion enfantine pour la lecture D'aussi loin que je me souvienne, j'ai aimé lire et écrire. Un de mes plus vieux souvenirs se rapporte à un livre : Boucles d'or et les Trois...
J’ai tant rêvé de toi de Robert Desnos
J'AI TANT RÊVÉ DE TOI J'ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d'atteindre ce corps vivant Et de baiser sur cette bouche la naissance De la voix qui m'est chère ? J'ai tant...
L’arbre aux lucioles
L'arbre aux lucioles Plus tard, ils ont entendu le glouglou d’un torrent, au fond d’une ravine, au milieu d’un boqueteau. Un sentier avec des pierres plates en escalier et une succession d’arbres au...
Lydie Moudileno ou penser l’Afrique à partir de sa littérature
Bienvenue dans les bibliothèques des littératures africaines Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, Lydie Moudileno a un doctorat de l'université de Berkeley en Californie et elle est...
Esprit vagabond
L’humain n’a d’autre chemin que l’ouvert d’être en lien
Cher tout le monde, femmes, hommes et tant d’autres, le blog Les vagabonds sans trêves nomadise au gré des vies, pensées, créations des continents africain, américain et européen qui permettent de déhiérarchiser l’imaginaire atlantique. Chemin faisant, le blog célèbre l’interdépendance, principe du vivant, auquel, nous, humains, comme toute créature ici-bas, n’échappons pas, car, tresse dense de relations, tant notre conscience que notre corps sont exposés à ce qui n’est pas eux. Incomplets, inachevés, ouverts au monde et au possible favorable et funeste, ils sont vulnérables, donc capables d’être affectés et d’affecter. La vulnérabilité est un aspect essentiel de la condition humaine : elle est ontologique. C’est un fait que, nous ne sommes rien sans autres et que nous dépendons, physiquement et psychiquement, de ce qui n’est pas nous. Nous avons donc à nous faire exister dans le quotidien de la relation, si bien que notre existence est toujours coexistence exigeant affections, dialogues, soins mutuels…
Loin de n’être que promesse tragique de corruption et de souffrance et d’exposition aux infortunes, la vulnérabilité est la condition de l’empathie à l’égard des autres et la possibilité de l’Éros en chair et en os… De son point de vue, la liberté se gagnerait en nouant liens fondés sur la réciprocité, la considération comme valeur sociale soucieuse de la circulation vivante des corps et des voix. Le blog Les vagabonds sans trêves pose la question de la relation en valorisant la dimension ontologique et poétique, que la tradition de pensée occidentale à tendance à négliger, trop occupée à nouer entre-elles les notions de dignité et d’autonomie, d’estime de soi et d’autosuffisance. Il s’agit de cheminer avec la conscience de la matérialité de l’existence humaine, c’est-à-dire une attention concrète à la singularité d’être complexe de chacun, d’emblée en relation avec le monde et les autres, mais aussi, à part, irréductible, et se devant de faire œuvre de réflexion, de spiritualité, d’imagination, afin de questionner sa finitude…
Catégories vagabondes
Coups de tête
Lit’, philo & art à la croisée du sociopol. & de l’écologique
Méli-mélo
Interludes poético-esthétiques prêtant à se déplacer
Entretiens compris
Échanges sur la hiérarchisation des conditions & des savoirs
Et moi émois & moyes
Sauts au vif de mon espace romanesque
Vagabonds experts
Décryptages des poncifs, moments & mots m’ayant miniaturisée
Invités vagabonds
Espace d’accueil où un hôte prend librement la parole